L'histoire du Don.

Citation :

Le Don

«C’était en haute mer, à l’Est de Kar pendant un été humide, je vous raconte alors comment tout commença…»

Pluie et vent faisaient rage, la tempête en mer se déchaînait sur l’embarcation du riche duo d’amants à bord. Le voilier était à la hauteur de cette richesse que ce couple Hastane possédait, mais ce navire nécessitait un équipage adroit pour le maîtriser en présence de telles conditions météorologiques. La hâte du couple -unis depuis près d’un an- de partir au loin en voyage sur les îles tropicales de Teilia les força à engager un équipage peu nombreux et sans expérience des dures rigueurs du métier de matelot. Cette hâte coûta la vie à ce couple trop fougueux, car la tempête emporta au fond de l’eau le navire, laissant que quelques survivants flotter sur des débris du bateau à la surface, dont le poupon du couple récupérer par un matelot au dernier instant…

Le poupon maintenant adolescent, celui-ci voyage d’île en île, de navire en navire avec son tuteur et sauveur -qui lui semble depuis toujours être son père-. Son allure plutôt négliger en fait un être peu attrayant, cheveux courts en bataille, visage imberbe -expliquer par son âge sans doute-, tunique trouée, de taille plutôt mince. Mais son tuteur semble apprécier ces efforts et lui transmet tout son savoir sur le métier, ainsi que des connaissances sur des activités plutôt mal perçu par plusieurs sociétés. Il éduquait l’enfant recueillit il y a plus d’un décennie à sa façon, en lui léguant son seul savoir…

«Vous comprendrez plus tard, sir, que ce poupon est maintenant la personne la plus rechercher des landes de Teilia mais également la moins connus des autorités !»

Les années passent et se ressembles. Maintenant que son poupon est adulte, le vieux matelot délaisse son âme, qui ne demande –depuis quelques années- qu’à quitter ce corps meurtri par le travail acharné. Au moins, son élève a de bonne connaissance de la vie, ainsi que ces fameuses connaissances sombres enseignés à temps perdu au fil des ans. C’est alors que le larron quitte le vaste port de Kar pour fouler les terres du «Repaire» comme son tuteur l’appelait. Indications en main et cartes au papier terni par le temps en poche, c’est ainsi que débute la nouvelle vie du marin sans emploie maintenant.

Après maintes journées de marches rigoureuses sur les terres sylvestres, quelques fraudes ou emplois quotidiens chez les aubergistes en échange d’un toit, la cachette abritant «le Repaire» était dévoilé à l’œil curieux de notre excursionniste. Personne ne se doutant pas de la réelle utilité de cet endroit n’aurait eu l’idée d’y jeter un œil, une planque parfaite.

L’intérieur était une modeste caverne rapiécée de quelques bâtiments délabrés, où ruisselait une source d’eau ayant percé la muraille naturelle de la grotte. On pouvait apercevoir quelques malfaiteurs jouer au dé en misant quelques pièces d’or. Ceux-ci ne mirent de temps à apercevoir le nouveau visage parmi eux et s’y précipitèrent vers celui-ci. Le couteau sous la gorge, l’accueil ne fût pas ce à quoi l’on pouvait s’attendre, sachant que trop peu ce que ce «Repaire» était tout compte fait.

La nouvelle bourse en cette cité ne pris de temps à être détroussée, ainsi que sa besace. Les malfrats mirent la main sur les indications et la carte menant tout droit à leur nid bien dissimulé. L’homme tenant la carte -qui semblait être le chef du groupe- leur fit signe de relâcher l’emprise sur le cou du détroussé. Puis un sourire se dessina sur ses lèvres. Il finit par dire : «Bienvenue à bord petit !». La carte devait être une sorte de mot de passe ou simplement tellement inhabituel que seul quelques privilégié pouvait en posséder une ainsi.

«Par la suite, ils apprirent tous leurs savoir à leur camarade, puis le temps et les choses créent un roulement dans le cycle de la vie. Vient le jour, pardonnez-moi sir de fragmenté l’histoire ainsi, ou le chef était nul autre devenu que ce même poupon repêché au tout début de notre histoire…»

Maintenant réputé pour ses talents multiples, sa discrétion hors du commun, ce chef était maintenant connu sous le nom «du Don». Son cercle d’amis était composé d’artisans de tout genre qui ont fait de cette caverne piteuse une ville à la hauteur des plus rechercher scélérats. Mais également de mouchards, qui pour leur part, rapportaient des centaines d’informations sur la vie extérieure, tel que les avis de recherche ou encore le déplacement d’un convoi de pierre précieuse. Ainsi, le Don était aperçu que lorsque sa présence était indispensable. Son visage était dissimulé depuis des années, ce qui en faisait un être énigmatique. Mais tout était calculé, cette discrétion n’était pas par crainte, mais stratégique. Sinon comment le bandit le plus rechercher pourrait investiguer et agir lui-même pour son propre plaisir. Il était donc primordial de passé méconnue une fois à l’extérieur, voir même à l’intérieur du repaire.

Ainsi donc, le Don était réputé au travers les landes, mais nul ne pouvait prétendre de connaître son identité, sous peine d’achever sa vie jeté dans un cachot pour complot avec le chef brigand. Car les nombreuses recherches royales sur les landes n’ont jamais porté fruit, alors comment un paysan pourrait en savoir plus qu’eux, autrement qu’en étant affilié à ce Don ?

«Je l’ai déjà aperçu dans…-l’homme jette un regard tout autour de lui- la Passe des Cent Pointes, au loin le Don tira une flèche enroulé d’un message : un contrat.»

«On dit qu’il est de petite taille! Peu convaincant pour le plus grand voleur!»

«Quel ignorant vous faites sir! Pourquoi s’encombrer d’un trop grand corps, ce Don est l’agilité même… Bien, maintenant que mon récit est terminé sir, je crains vous en connaissez bien trop désormais…»

Cette légende n'est pas connu par vos personnages, la façon dont je l'ai écrite, n'est que pour créer un histoire intéressante à lire. Une parti annexe sera créer, qui sera les seuls informations connus du Don.

Le texte est également passible de changer.